Zoom sur… La trilogie Doregon

09/05/2015 at 16:10 (Doregon, La Symphonie des Abysses, Phænix, Uncategorized, Zoom sur…)

Non je n’ai pas laissé tomber cette rubrique, mais je n’ai pas eu le temps de m’en occuper ces dernière semaines. Mais la voici de retour !

Cette fois, je vais parler de Doregon, une trilogie parue chez l’Atalante. C’est certainement une de mes sagas les moins connues. C’est d’autant plus une bonne raison d’en parler ! 🙂
Alors, comment est-elle née ? Ça va paraître certainement étrange, mais tout a commencé avec un rêve. Une sieste et deux personnages qui apparaissent dans mes songes. Lui, il est libraire et elle, est amoureuse du libraire et le connait très bien. Sauf que lui ne la connait pas du tout. Quand je me suis réveillée, je me suis posé plein de questions à propos de ce rêve : comment elle, pouvait connaître aussi bien cet homme, et même l’aimer autant, alors que pour lui, elle n’était qu’une étrangère ? Il fallait que je trouve les réponses, que je leur invente une histoire qui donnerait un sens à cette scène.

Alors, j’ai imaginé cette histoire et ça a donné Doregon. Le rêve dont je parle est écrit au début du roman, dans les premiers chapitres. Il est le point de départ de cette trilogie, à cheval entre la SF et la fantasy.

Elle, c’est Mia. Elle est étudiante aux Beaux Arts et aime peindre.

Lui, c’est Josh. Il est étudiant en Lettres et pour gagner sa vie, il travaille dans la librairie qui se trouve au pied de son immeuble.

Mia peint un monde qu’elle pense imaginer et qu’elle nomme Doregon. Jusqu’au jour où elle hérite du pouvoir d’entrer dans ses peintures. Elle découvre alors que Doregon existe, et qu’elle est liée à cet univers très particulier. Car Doregon est en fait un « sas » d’entrée vers une multitude d’autres mondes. En effet, dans un couloir abrité dans un château, se trouve une infinité de tableaux qui ne sont que des portes vers d’autres univers divers et variés. Et ce couloir est un enjeu important.

C’est ainsi que Mia et Josh affrontent Moone et sa noirceur, sa volonté de contrôler et de détruire. Pour cela, ils doivent trouver la solution dans les mondes qui se cachent en Doregon. Leur amour, leur volonté, va les aider à surmonter toutes les épreuves qui vont surgir de partout. L’ombre menace la lumière et le couloir de Doregon.

Le premier tome « Les portes de Doregon » est paru en 2010. Il fait découvrir aux lecteurs et à Mia et Josh ce qu’est Doregon. Comment il s’ouvre sur tellement de mondes et comment il permet également de jouer avec les lignes du temps. Il met en place les bases de l’univers et les relations entre les personnages.

couvdoregon2En voici le résumé et la couverture réalisée, comme les autres, par Benjamin Carré.

Le tome 2 est sorti en 2011. Là, Mia a joué avec le temps et l’histoire se réécrit, mais différemment. Quelles sont les conséquences d’un tel acte ? Car tout a un prix et changer le passé peut coûter cher… « La guerre de l’ombre » bascule vers quelque chose de plus sombre… La lumière commence à disparaître, Mia doit trouver la solution pour la faire revenir et sauver ceux qu’elle aime…

Guerre de l'OmbreEnfin, le tome 3 « Les cracheurs de lumière« , est sorti en 2012. Il conclut la trilogie et amène à la dernière bataille que Mia et Josh devront mener pour sauver Doregon ainsi que tous les autres mondes.

Cracheurs maquetteFranchement, j’ai adoré me promener en Doregon. C’était comme si moi aussi j’avais eu le pouvoir d’entrer dans des tableaux et de les visiter. C’est un univers quasiment infini, et qui est génial à explorer. Les lymbiotes, ces lynx télépathiques que l’on voit sur les couvertures du tome 1 et 2, sont des créatures que j’aimerais croiser un jour, alors je les ai imaginés.

À l’époque où il est sorti, il a été classé en jeunesse, mais en réalité c’est une trilogie qui s’inscrit clairement en Young Adult. Les héros ont la vingtaine, les problématiques sont complexes, l’univers, où des mondes s’imbriquent les uns dans les autres, est un des moins linéaires que j’ai imaginés. D’ailleurs, l’Atalante a depuis créé une collection YA et il a été décidé que, si un jour on réimprimait la trilogie, on la ferait reparaître en YA sans l’ombre d’un doute.

J’aime explorer toutes les formes d’art. Dans Phænix et La symphonie des abysses, j’ai beaucoup parlé de musique. Dans Doregon je parle de peinture. Je ne suis pas une spécialiste, mais j’ai pris plaisir à imaginer ce qui arriverait si je savais peindre et si je pouvais entrer dans mes œuvres. Je pense que cette idée m’est venue de deux sources : la première, c’est l’œuvre de Moussorgski « Tableaux d’une exposition » dont j’avais vu l’orchestration symphonique de Ravel quand j’étais jeune, mise en scène avec la musique et des comédiens. Ensuite, c’est Le cycle des Princes d’Ambre de Roger Zezlany, où les princes possèdent un jeu de carte qui représente leurs frères et sœurs et leur permet de rentrer en contact avec eux. Ces éléments, une fois absorbés, m’ont donné envie de donner vie à la peinture, à des tableaux. Rajoutons à cela mon rêve, et cela a donné une trilogie entière.

Parfois, je me prends à me demander si je n’ai pas envie de retourner en Doregon. Mais je n’ai pas encore de bonne idée pour faire revenir Mia et Josh pour de nouvelles aventures… Un jour, peut-être ?

En tout cas, je vous invite, si ce n’est déjà fait, à partir visiter Doregon. Je peux vous assurer que le dépaysement sera total ! 🙂

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Zoom sur… La quête des Livres-Monde !

08/03/2015 at 14:59 (Imaginales, Incorruptibles, La Quête des Livres-Monde, Zoom sur…)

Je retrouve le chemin de ma petite rubrique mensuelle, qui revient sur des livres ou des séries pour les faire (re)découvrir aux lecteurs. Ce mois-ci, j’ai choisi de parler de La quête des livres-Monde, parce que, durant les nombreuses rencontres scolaires que je fais cette année, on me pose encore beaucoup de questions sur cette trilogie.

Alors comment est née La quête des Livres-Monde ? C’est presque anecdotique, en fait ! Comme quoi, ça ne tient pas à grand chose, la naissance d’un roman ! Je vous avais raconté, dans le zoom qui parle du Mystère Olphite, que ce roman avait intéressé Denis Guiot, qui est aujourd’hui directeur de la collection Soon, chez Syros. À cette époque, il venait de quitter Mango où il dirigeait la collection Autres Mondes, et cherchait à créer une nouvelle collection ailleurs. Donc, en mai 2007, il me demande où j’en suis avec Le mystère Olphite et je lui réponds que j’ai signé avec L’Atalante et, dans ma « grande naïveté », je conclus mon email en disant que si un jour j’ai une nouvelle idée de roman, je lui en parlerais. Et il me répond : parlons-en tout de suite !

Donc me voilà avec un rendez-vous programmé avec un directeur de collection, si tôt dans ma jeune carrière. Je me souviens encore de la date : le 1er juin 2007. Grosse panique : je n’avais aucune idée à lui proposer. Et pour moi, c’était impensable ! Je suis une toute jeune auteure et j’ai une opportunité pareille, hors de question de la gâcher ! Donc me voilà à faire mouliner mon cerveau pour trouver une idée et je finis pas trouver le concept de La quête des Livres-Monde. J’arrive au rendez-vous, et je raconte en quelques phrases, à peine, l’histoire de cette trilogie.

Un petit rappel ? Tout commence avec l’histoire de Zec, qui est un ado de 16 ans qui mène une vie super normale, jusqu’au moment où… des ailes poussent dans son dos ! Évidemment, cela bouleverse son quotidien, et avec les ailes vient la révélation : il est issu d’un autre monde, Chébérith, qui a été détruit par l’Avaleur de Mondes. Mais avant la destruction, ses habitants ont codé toutes les données de cette planète dans trois Livres-Monde qu’ils ont caché sur Terre. Et la mission de Zec est de retrouver ces trois Livres-Monde et de recréer Chébérith. Pour cela, il est aidé par Eden qui a des ailes comme lui, Louis, son ami d’enfance, Eyver, une sorte de mentor qui vient de la planète disparue. Enquête, indices, aventures, mystères, dangers, voilà tous les ingrédients qui ponctuent l’histoire de ces héros.

Et bingo, Denis me demande d’en écrire le premier chapitre et une présentation des personnages. Quoi ? Là ? Tout de suite ? Oui.
Bon d’accord… Je me mets au travail et quelques jours après, je lui envoie tout ça. Son but était de proposer le projet à un éditeur et peut-être de créer une collection à terme. Il envoie le projet à l’éditeur… Et en septembre, il m’apprend que ça ne pourra pas se faire chez cet éditeur, mais qu’il veut le proposer à Constance Joly-Girard, qui était éditrice chez Intervista et dirigeait les deux collections jeunesse là-bas. Constance a lu le dossier, on s’est rencontré, et elle a pris le projet. Et voilà que, d’un seul coup, je me retrouvais à écrire un roman déjà signé avant même de l’avoir écrit !

Je peux vous assurer que ça m’a mis dans un stress pas possible ! J’avais peur de ne pas être à la hauteur, mais finalement tout s’est bien passé et le tome 1 de La quête des Livres-Monde est sorti en août 2008. Au départ, ça a été une super aventure : la magnifique couverture de Benjamin Carré a attiré l’œil des lecteurs plus que mon nom encore inconnu. Et puis le livre a été sélectionné au premier prix Imaginales des Collégiens qu’il a remporté en 2009 et ensuite au prix des Incorruptibles qu’il a remporté en 2010 pour les 5e/4e. Là, le rêve était total ! D’un seul coup, les portes d’un univers nouveau s’ouvraient à moi : celui des rencontres scolaires que je faisais pour la première fois, celui de la reconnaissance des professionnels du livre qui avaient mis mon ouvrage dans les sélections, celui de la reconnaissance des lecteurs qui avaient voté pour lui ! Je crois que c’est cette année qui a été décisive (2009/2010). C’est là où j’ai décidé de me consacrer entièrement à l’écriture, c’est là que mon nom a commencé à être un peu connu…

Ensuite, les choses se sont gâtées (tout ne peut pas être rose tout le temps !). Intervista a décidé d’arrêter de publier des livres jeunesse. Donc le tome 1 était disponible et partait comme des petits pains, le tome 2 (sorti en avril 2010) était épuisé sans réimpression possible et le tome 3, que j’avais déjà signé ne devait pas sortir. Et pendant ce temps, les fans de la saga me le réclamaient à cor et à cri ! Que faire ? Après un long moment, où tout le monde a su faire preuve d’une patience et d’une fidélité exceptionnelles, j’ai réussi à récupérer mes droits et L’Atalante a repris toute la trilogie. Elle est ressortie en intégralité (avec le tome 3 qui était inédit jusque-là) en novembre 2012 pour ma plus grande joie et celle des fans qui l’attendaient depuis bien longtemps.

Et depuis… Elle continue son chemin incroyable. Elle attire encore les foules, bien qu’elle ne date pas d’hier ! Et surtout, les lecteurs me suppliaient d’écrire une suite, ce qui, dans un premier temps, m’a bien embêté, parce qu’il n’y avait aucune suite possible. L’histoire se terminait bel et bien à la fin du tome 3. À défaut d’une suite, j’ai eu l’idée d’une nouvelle aventure, reprenant les personnages de Zec, Eden et Louis, mais qui se passerait deux ans plus tard, sur un autre monde, et pour une nouvelle quête… c’est ainsi qu’est née la trilogie de La quête de pierres de Luet, mais ça, c’est une autre histoire…

Voici les trois magnifiques couvertures de la trilogie, réalisées par Benjamin Carré. Je pense qu’elles ont grandement participé au succès des livres et je ne peux que le remercier pour son talent…

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Zoom sur… Le mystère Olphite

02/02/2015 at 17:02 (Le Mystère Olphite, Zoom sur…)

Je vous l’ai annoncé dans mon précédent article, j’ai décidé de faire régulièrement, sur ce blog, un zoom sur un roman ou une saga, afin peut-être, de les faire découvrir aux lecteurs qui ne les connaîtraient pas encore. C’est une façon de parler de mes histoires, mais aussi de comment et pourquoi je les ai écrites…

Je commence donc cette nouvelle rubrique avec Le mystère Olphite.

Pourquoi celui-là ?

Déjà, parce que c’est le premier roman que j’ai publié chez l’Atalante et ensuite, parce que les derniers évènements qui ont entouré la découverte de la comète Chury grâce à la sonde Rosetta et le robot Philae, m’ont ramenée des années en arrière, quand j’ai écrit ce roman, et vous allez comprendre pourquoi…

Il faut savoir que j’ai commencé à écrire les premières pages de cette histoire dans les années 90. Je ne me souviens plus exactement, mais une chose est sûre, c’est après avoir lu « Les guerriers du silence » de Pierre Bordage – ce n’est pas pour rien qu’il y a des exergues en début de chaque chapitre dans Le mystère Olphite, les connaisseurs comprendront.

Grâce à la trilogie de Pierre Bordage, j’ai découvert de la SF française qui me passionnait et un éditeur français qui publiait de la SF française, L’Atalante. Il y en avait certainement d’autres, mais j’étais jeune et je commençais à peine à découvrir cet univers, autrement qu’en simple consommatrice de romans empruntés à la bibliothèque. Après cette révélation, je n’ai eu qu’une envie : être publiée chez l’Atalante et j’ai écrit Le mystère Olphite avec cet espoir gravé dans un coin de ma tête.

J’ai dû en écrire 60 ou 70 pages et ensuite, j’ai arrêté, parce que la vie en a décidé ainsi : je me suis mariée, j’ai commencé ma vie professionnelle, et puis j’ai eu mon fils en 2000 et tout cela m’a tenue un peu éloignée de l’écriture. Jusqu’à ce que j’écrive Lucille et les dragons sourds et que ce roman soit publié en 2004. Grâce à cette expérience j’ai gagné de la confiance en moi et mes amis, ainsi que ma famille, qui avaient lu les premières pages du mystère Olphite me réclamaient la suite. Alors, je m’y suis remise.

À ce moment-là, je travaillais dans un bureau dans la journée, je rentrais le soir pour m’occuper de mon fils (j’étais fraîchement divorcée alors) et une fois qu’il était au lit, je me mettais à écrire. Cela m’a donc pris des mois, mais ces soirées d’écriture solitaire sont, avec le recul, de belles bulles de rêve et d’évasion. Et puis j’ai envoyé le manuscrit à l’Atalante – par la Poste, tout simplement – avec l’espoir que ça leur plaise.

Je passerais sur les détails qui ont suivi, ce serait trop fastidieux, mais à ma plus grande joie, mon rêve s’est réalisé : Le mystère Olphite est sorti en mai 2008 chez l’Atalante, inaugurant ainsi sa collection jeunesse.

Ce roman occupe une place particulière dans mon cœur : il est la réalisation de mon rêve absolu, une belle victoire. Il est aussi la preuve de ma volonté étalée sur des années : un roman commencé plus de 10 ans plus tôt et qui finissait sur les étagères des librairies.
Je vais être honnête avec vous : ce livre n’est pas un bestseller. Inconnu au bataillon, on ne peut pas dire que mon nom ait attiré les foules, mais c’était un bon début – il a été directement sélectionné au GPI et au prix ado de la ville de Rennes –, un magnifique espoir, le commencement d’une belle aventure avec l’Atalante, et avec d’autres éditeurs, puisqu’il avait attiré l’attention d’un directeur de collection en particulier, Denis Guiot (qui est aujourd’hui directeur de collection chez Syros pour Soon).

Et presque 7 ans après, je continue à porter dans mon cœur cette première histoire, certainement truffée de mes défauts de débutante, mais qui a vu naître le début de ma carrière d’auteur.

Pourquoi est-ce que Rosetta, Philae et la comète Chury m’ont ramenée de la sorte en arrière ? Parce que justement, dans ce roman, j’explore les relations qu’ont les hommes avec l’espace, l’univers et plus particulièrement avec les comètes. Étrange, non ?

Je ne vous dévoilerai pas toute l’histoire, car si vous avez envie de la découvrir, je préfère que vous gardiez la surprise des révélations intacte.

Le roman raconte la fuite de Maor, un jeune homme de presque 18 ans, qui s’échappe une nuit, de son école. Mais pas n’importe laquelle : la plus fameuse école Olphite de France, perchée au sommet du Mont Blanc. Cette fuite pourrait être anecdotique, sauf que c’est la première fois qu’un Olphite s’enfuit d’une école, et que cet élève, Maor, peut devenir le déclencheur d’une série d’évènements que les dirigeants Olphites ne veulent pas voir arriver. C’est pourquoi une équipe de Pisteurs se lance à sa poursuite.

Une course contre la montre commence alors. Maor, confronté à la vie en dehors de l’école dans laquelle il était resté enfermé pendant 10 ans, va découvrir le véritable visage des Olphites, dont il fait pourtant partie. Il va rencontrer Sirius, une jeune fille qui déteste les Olphites, ainsi que le professeur Hermann qui est celui qui a « inventé » les Olphites.

Tous ensemble, ils vont tenter de faire éclater la vérité, et de sauver… le monde, rien que cela.

Comment ai-je eu l’idée de ce roman ? C’est un reportage que j’avais vu à la télé qui parlait du rôle des comètes et astéroïdes dans l’histoire de la Terre. La théorie de la panspermie (les comètes écrasées en grand nombre sur notre planète, il y a des milliards d’années de cela, auraient été les vaisseaux naturels des éléments déclencheurs de la vie sur Terre), un vecteur de vie et la théorie de la disparition des dinosaures en raison de la chute d’un énorme astéroïde, un vecteur de mort… Ça a fait « clic » dans ma tête et j’ai commencé à écrire cette histoire.

Il y a quelques mois de cela, j’ai écrit, pour l’Atalante, une nouvelle parue seulement en numérique, qui s’appelle Horizon – et qui n’est plus disponible pour l’instant – et qui se passe 300 ans après Le mystère Olphite. Je raconte, en quelque sorte, les conséquences, des siècles plus tard, de l’aventure de Maor et Sirius. Et cela se passe… sur un astéroïde. Et il y a quelques semaines, Philae nous envoyait les premières images de la surface d’une comète. Évidemment, cela titille mon imagination. Maintenant que ces photos existent, j’ai encore plus envie de repartir sur Horizon ou un autre astre et voyager dans l’espace grâce à eux… Ce n’est pas encore au programme, mais qui sait, si un jour, je ne finirais pas par céder à cette envie…

Quant à la couverture… Certains d’entre vous ont peut-être remarqué qu’il en existe deux. La première faite par le talentueux Gilles Francescano, est celle où l’ont voit un homme allongé sur l’herbe… Elle n’a pas du tout marché, bien qu’elle soit très belle, peut-être parce que, adressée un public jeune, elle était plus inquiétante qu’autre chose (nombreux sont ceux qui ont cru qu’il était mort, alors qu’il regarde les étoiles !). Donc, chez l’Atalante, on a décidé de la changer et c’est ainsi qu’est née la deuxième couverture réalisée par le fabuleux Benjamin Carré. Moins sombre, plus dynamique, elle est aujourd’hui l’image de ce roman.

Le Mystère Olphite

Le Mystère Olphite

Mystere olphite

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voilà pour ces quelques confidences… J’espère que ce petit zoom vous a intéressé, suffisamment en tout cas pour que cette rubrique devienne régulière !

Peut-être vous aura-t-elle donnée envie de découvrir Le mystère Olphite aussi ! Si c’est le cas, je vous souhaite un beau voyage dans les étoiles. 🙂

 

 

 

 

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